Don't be so mad lady~ |PV Maddy Llyod|

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Angelo avait tout vu. Vu comment Llyod avait maltraiter cette pauvre fille. Angelo ne pouvait se permettre qu'on maltraite une fille. Lorsqu'il la vit passé pour quitter la salle, il la suivi. Il devait s'assurer qu'elle aille bien après que Llyod l'ai temps maltraité. Il posa une main sur son épaule rendu au dortoit des Pain et l'enleva après.

-Désoler Mademoiselle. J'ai vu ce que ce Llyod vous a fait. Vous n'avez pas trop mal j'espère??

- Laisse moi tranquille, occupe toi de ce qui te regarde et ne me touche pas !!

Invité

Oh mais pourquoi elle était tant offusqué?? Il ne voulait aucun mal. En réalité, il ne serait point capable de lui en faire. En plus, elle était plutôt mignonne comme fille. Bon elle était supposé être a Llyod. Mais bon en amour on dit que tout est permis. Il allait donc la courtiser un peu d'une façons gentleman. Il se courba donc devant et lui dit

-Veuillez m'excuser de vous avoir touché Milady. Je suis fautif de ne vouloir que me renseigner. Fautif de savoir s'il vous a fait du mal. Car une personne tel que vous, ne mérite pas d'être blesser. En fait, aucune fille ne devrait se faire maltraité par un homme.

Il se releva, et lui sourit. En espérant qu'elle le prenne bien, surtout qu'il était sincère dans ses paroles.

Wow. Dans le genre changement radical, on pouvait difficilement faire mieux. Peu habituée à tant d'amabilité, de charme et de douceur, Maddy fut prise au dépourvu, et cligna des yeux, chassant une larme de colère restée coincée au coin de ses cils. Elle ne savait que répondre à ces mots, cette gentillesse, ce sourire. Ses joues prirent la teinte d'un rose plaisant, alors qu'elle tenta d'esquisser un petit sourire à son tour. Un petit sourire qui ne voulait dire d'autre que merci. Car vraiment, elle en avait besoin, du réconfort.

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Angelo garda son sourire sur les lèvres, lorsqu'il la vit rougir. C'était déjà un bon début. Franchement, cette fille devait mériter le respect. Elle méritait d'être mieux traité. Et c'est qu'Angelo allait faire.

-Je désire apprendre a mieux vous connaitre. Me feriez-vous l'honneur d'accepter ma simple requête??

- Que veux-tu dire par mieux me connaître ? ... Et pourquoi me vouvoies-tu ?

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-Te connaitre mieux, Hum.... disons. Savoir ton nom par exemple? Ce que vous aime, ce que vous détesté. Les trucs habituel quoi ^^ Pour être poli, je commence. Je me nomme Angelo Moretti. J'aime bien les filles, les mets italien. Généralement je suis toujours avec un livre, mais je l'ai laissé dans ma chambre aujourd'hui. Enfin, ce que je n'aime pas. Je n'aime pas voir une fille aussi triste. Je n'aime pas non plus, lorsqu'on maltraite les filles. Je vous vouvoie, pour je ne sais quel raison.

Non celle la, elle n'allait pas atterrir dans son lit. Celle-la, il voudrait la garder comme amie. Une fille a qui il pourrait parlé, sans nécessairement couché avec elle.

- Merci.... Madelaine Marie....

- J'aime bien lire... et je n'aime pas le contact.....

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-Madelaine Marie. Original comme nom. Marie est le nom porté par le mère de Jésus. Espérons que ce nom te porte chance.

Elle n'aimait donc pas le contact. Hum... voila donc pourquoi elle c'était éloigner de lui lorsqu'il avait posé sa main sur son épaule.

-La lecture hein? Nous avons donc un point commun. Mais je crois pas que nous aimions le même genre de livre.

S'il savait à quel point ces paroles lui étaient ironiques. Porter chance d'avoir le nom de la vierge Marie, hm ? La bonne blague... Elle dévisagea Angelo, ne sachant trop pourquoi elle lui parlait au juste. Peut-être qu'elle avait juste besoin de se calmer après sa "conversation" avec Lloyd...

- Je ne lis pas beaucoup de toute façon...

Faute de temps et d'intelligence /shot Mais par contre, étrangement, elle lisait très vite, et avait plutôt bonne mémoire des œuvres qu'elle avait lues.

Invité

-Hey bien tu n'est pas trop bavard. En fait, sa me dérange pas vraiment. Sa me permet de remarquer a quel point tu est mignonne. Mignonne mais pas plus que sa hein. J'ai beau être un draguer, j'ai pas envie d'une relation de cul avec toi. Enfin, je crois sa serais bien sympa de t'avoir comme amie.

Angelo le dragueur qui voulais être amie avec une fille?? Il était peut-être malade qui sais.

-Que dirais tu, de finir notre discutions dans un endroit mieux que ce couloir. Hum..... que dirais tu d'aller au foyer? On sera bien mieux la-bas.

Cigarette. Fumée. Se détruire la santé. Obstruer ses poumons. L'idéal en un petit rouleau. Accoucé à la fenêtre, regard perdu sur les horizons, il fumait, pour se calmer et ne pas perdre ses moyens. Pour éviter de réagir comme il ne le devrait pas. Ne pas la rattraper. Elle devait avoir disparu dans sa chambre, maintenant. Il monta. Il arriva. Il la vit parler de loin. Avec. Angelo. Et le seul mot, le seul mot qu'il pu entendre, c'était mignonne. Et le temps qu'il s'approche, aller au foyer. Quel connard.

• Occupe toi de tes propres putains Angelo.

Ce coureur de jupon aller la laisser tranquille. Il s'était juste mis à côté de sa victime, une main allant glisser dans son dos et s'arrêter sur sa hanche pour la coller à lui.

• Il y en a qui ne te sont pas accessibles.

Franchement déstabilisée par la franchise du jeune homme, elle ne put éviter la teinte rosée qui monta de nouveau à ses joues alors qu'elle faisait un petit pas évitant en arrière. On ne lui avait jamais proposé d'être amis comme ça... Surtout aussi abruptement et.... mot pour mot quoi ! Vraiment rien n'avait été insinué, tout mis en plan sur la table de façon claire et nette. Et un instant elle se trouva donc dans l'incapacité de réponse, et alors qu'elle ouvrait la bouche pour enfin le faire, une autre voix l'immobilisa. Une présence. Une main. Dans son dos. Puis sur sa hanche. Et leurs corps collés l'un à l'autre. Après un léger frisson elle se dégagea, le repoussant avec ses mains tâchées de sang à présent sec, et lui lança un regard furibond qu'il ne devait que trop bien connaître. Pas un mot ne franchit ses lèvres, ce n'était pas la peine. Il les connaissait déjà, les "lâche moi" et "occupe toi de ce qui te regarde" ou encore "laisse moi tranquille", et le reste...

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Angelo le savait. Il l’espérait même que Llyod débarque. Qu'il le voit avec celle qu'il voulait. Celle avec qui il l'avait fait dans leur chambre. Angelo aimait bien Llyod, mais aujourd'hui, il était allé trop loin.

-Oh Llyod, je ne croyais pas que tu allais arrivé si vite. Désoler, mais je ne faisais que lui parlé gentiment. Je ne voulais que m'assurer qu'elle aille bien. Surtout après ce que tu lui a fait à la fête de Noël.

Angelo sourit un peu, lorsqu'il vit Marie se dégager de l’emprise de Llyod.

-Ne comprend tu pas, qu'elle a horreur des contact physique...

Il tourna son visage vers Marie et lui dit

-Milady allez-vous bien??

Un petit claquement de langue. Un petit titillement. Il l'énervait. Déjà.

• Et ?

Il la laissa se dégager. Il entendait très bien ses pensées, ses dires, et tout de suite, il s'en fichait, n'avait qu'une envie, défoncer Angelo. Jaloux ? Un peu.

• Je n'attends aucune permission pour me faire plaisir.

Froid. Distant. C'est tout.

Bien qu'il soit extrêmement gentil et franc avec elle, la façon dont Angelo prenait tout de suite à cœur son existence la mettait mal à l'aise. Il est vrai que d'après les rumeurs, il était dans son habitude de bien traiter toutes les femmes, mais tout de même... Elle ne lui répondit que par un petit hochement de tête, rapide et discret. Elle sentait la colère rien qu'au son de la voix de Lloyd, et décida qu'il valait mieux pour elle filer avant que la discussion ne tourne en dispute... Surtout qu'elle n'avait aucune envie qu'on se batte à son sujet. Elle recula donc de quelques pas doucement, lentement, presque innocemment, vers l'autre côté du couloir, là où se trouvaient les chambres, SA chambre...

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Angelo la regarda partir, comme si rien ne s'était passé. Il ne pouvait plus rien faire pour elle maintenant. Il alla se colle dos au mur, et regarda Llyod pendant un instant. Puis le sol et le plafond, avant de plongé son regard dans celui de Llyod.

- Dit moi Llyod, est-ce que tu l'aime? Si tu l'aime, pourquoi la maltraite tu? Ne pourrais tu donc pas être doux pour une fois. Surtout avec la fille que tu aime. Peut-être, si tu serais un peu plus attentionné avec elle, tu aurais ce que tu voudrais. C'est en étant gentil avec elle, que j'ai su son nom, ce qu'elle aimait et ce qu'elle détestait. Si tu l'aime vraiment, file la rejoindre avant qu'il ne sois trop tard.

And it's a womanizer who's talking...

Ou comment esquiver des questions, des questions auxquelles lui même n'avait aucune réponse. Ce qu'il savait juste, c'était qu'il ne croyait pas à ces conneries comme l'amour, l'amitié. C'était chacun pour sa gueule, et il défendait la sienne. Et c'te chose qui se tenait en face de lui n'était pas capable d'aimer, ne savait apprécier les plaisirs charnels, et osait faire une morale sur l'amour et ses bienfaits.

J'en ai rien a foutre de son nom, son age, sa nationalité. Je ne te la laisserai pas. C'est tout.

- Non... Non mais.... Mais va te faire voir connard !! Je t'appartiens pas bordel décide pas de ma vie comme ça !!! Je fais ce que je veux, merde !

- Je ne suis pas ton jouet......

- Et parlez pas comme si j'étais pas là nom de Dieu !!!

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-Womanizer hein... Bon sa sonne pareil que Don Juan ou un Casanova donc je vais accepter ce compliment.

Il se foutait que Llyod pouvait pensé. Il était un Casanova qui aimais les femme et puis? C'était pas un crime. Il se trouverait bien la bonne un jour. Il n'avait que 17 ans, il avait la vie devant lui. En ce moment, il profitais du mieux qu'il pouvait de sa vie. Et il la profitait avec les filles de cette academy. C'était dans son droit non?

-J'ai assez de fille dans l'academy. Et puis, je ne veux rien avec elle. Je ne souhaite qu'être son ami.

Angelo ne passa aucun commentaire, lorsque Marie parla. Il n'avait rien a répondre sur sa. Donc fallait mieux qu'il se tait. Il fouilla dans ses poches, et ne trouve que son briquet. Il l'ouvrit, et fixa intensément le feu.

- Haaaaa... Pourquoi je n'ai pas apporter mon livre aussi

Enfin sa il le disait plus pour lui même, mais que les autres l'entende il s'en foutait un peu.

Lloyd se retourna vers l'inconnue qui une fois encore, rallait; Bordel mais qu'est-ce qu'elle foutait chez les Pains quand sa place était chez les Sorrows ? Il l'écouta moyennement parler, un peu perturbé par ce que lui avait dit plus tôt Angelo. Non. Lui être amoureux ? La bonne blague. Il la trouvait juste.... Juste....

Elle est juste beaucoup plus sexy énervée et seule.

C'était juste pour ça qu'il ne cherchait pas à plus la connaitre. Seulement pour ça... Il ne voulait pas qu'ils soient amis parce que.... Parce que voilà, on sait jamais, Angelo, on le connait, on sait qu'il dépasse vite les limites. Oui. C'était tout. Il n'était PaS jaloux que quelqu'un soit proche d'elle; Qu'elle idée.

Je t'interdis de l'approcher.

Dit il en la fixant. Parce que voilà, faire comme si elle était pas là, parler d'elle comme ça, c'était trop tentant.

- Die and go to hell fuckhead !!

Invité

Angelo fixa sa flamme sans porter attention au deux autre. Il ne savait pas pourquoi, il avait un briquet. Il n'étais pas un fumeur. Mais la flamme de son briquet lui plaisait bien. C'était même plaisant de l'avoir de tant a autre, et mettre le feu au gateau de Hasard. Parlant de Hasard, il devait bien lui rendre visite un moment ou n autre. Il releva la tête lorsque Llyod parla de Sexy.... Il passa aucun commentaire, mais il était mort de rire dans sa tête. Et vlan un coup de soulier dans la tête. Il referma son briquet de peur d'en recevoir un lui aussi

-Ouah c'est chou Llyod est jaloux comme c'est mignon. Et putain qu'elle lancé que tu a Marie.

Bing ! Et paf, une chaussure dans la tête. Ce fut ce genre de scène au ralenti, vous savez, ou les yeux de Lloyd sont soudainement devenus neutre, blancs de toute émotion, et où il a lentement basculé sur le coté sans comprendre quoi que ce soit à ce qu'il se passait.

• • •

Et bon. Il s'est vite rattrapé sur le côté. En se massant la tête. FUCKING GIRL ! Il soupira, fermant les yeux de desespoir, et les rouvrit pour la fixer, et la pointa du doigt.

• Ne... Ne recommence jamais ça.

Boudeur ? Nooooooon. Il n'aimait juste pas qu'on le frappe. Et puis il aurait voulu crier un TU VAS PAYER GAMINE mais voilà, c'était pas son style. Alors on arrête de se masser la tête, et on détourne le visage vers Angelo.

• • • " Die and go to hell fuckhead ? "

Le.. coup l'avait un peu sonné. Voilà tout. Et puis c'était coul de voler les répliques des autres. Il n'empêche qu'il ne niait rien ?

- Je fais ce que je veux enfoiré !!! Et ne reprend pas mes répliques !!!

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