The fail of the death

- Bah on est tous habitués à ce genre de chose, non ? De toute façon tout ceux qui finissent ici ne viennent pas du "génial" et ne sont pas près d'y arriver de toute façon... Et puis les Pain ne sont pas tous des horreurs, hm. Y'en a qui choisissent de t'ignorer et qui peuvent se montrer poli, c'est agréable...

Si seulement elle savait que quelques jours plus tard la personne qu'elle avait en tête la violerait.... Karma is a bitch, duh.

Ou quand l'ennui est vraiment présent, la bibliothèque restait ouverte. Mouai.... Bon aller, Faust, ça faisait longtemps, c'était pas mal et puis les livres, elle aimait bien. Mais arrivé au rayon choisi... Horreur ! Disparition ! SON livre n'était plus là ! Qui pouvait avoir le cerveau adéquat pour pouvoir lire Faust ?

Et encore plus horrible. Elle voyait la couverture du livre -de loin, ouioui- sur le ventre de quelqu'un. Qui ? Elle allait bientôt le savoir. Sans se soucier des autres aux alentours -de toute manière il y avait personne, elle marcha d'un pas rapide vers le booknapper et lui reprit le bouquin tout en lui criant dessus.


-T'AS PAS HONTE DE T'ENDORMIR AVEC CE BOUQUIN DEVANT TOI ?!

Ouai. Quand elle aime un truc Myle, elle l'aime vraiment. Alors Amen si elle a un copain.

[*attend son gage*]

Bingo. Lloyd avait vu juste. Ce carnet devait être un trésor sur la vie de la jeune fille, quelque chose devant quoi il ne pouvait pas passer à coté. Mais avant toute chose, il devait savoir si elle acceptait que son contenu soit dévoilé pour peser l'importance de la chose.

• Et je suppose qu'il serait mal vu que j'y jette un coup d'oeil ?

Bon. Il avait pu apercevoir une fraise et un scarabée... Rien d'important. Alors soit cette fille était un futur Picasso et espérait revendre ses premiers croquis des milliards d'euros, soit il y avait quelque chose de beaucoup plus intéressant à y trouver.

fier. Lloyd l'était actuellement. Il avait enfin réussi à faire sortir la petite demoiselle neutre de ses gonds. Ou presque, mais elle avait changé d'expression, ce qui était un bon point.

• Alors allez-y demoiselle passez

Et alors qu'elle s'apprêter à passer, il mis son pieds et elle faillit tomber - ou tomba - à la renverse. Vive les croches pattes.

• Oh. Alors il était juste shooté. Rien d'étonnant, finalement. Elle soutint son regard un long moment, arquant légèrement le sourcil à sa dernière remarque, avant de soupirer, encore.
  
  - Tu sais les ipods, baladeurs, mp3, ça existe hm... Pas besoin de foutre en l'air tes neurones pour du bruit.
  
  Et puis en plus....
  
  - De toute façon si tu supportes pas tout ce boucan qu'est-ce que tu fous ici ? Tu serais mieux dans ta chambre...
  
  Quoi que, qui sait, elle ne connaissait pas ses coloc's mais certains des garçons chez les Pain étaient vraiment frappés. Encore plus que les filles. oui oui c'est possible. Elle en connaissait un exemple parfait.

-C'est des tournesols.... Si je pète ces lunettes, ça va faire quoi ?

Et là, le pas de trop, le pas de l'enfer. C'était Mephisto qui s'acharnait sur elle, obligé. Parce que glisser sur un bout de tomate, fallait le faire. Mais tomber assez loin pour embrasser sans le faire exprès ce con de bigleux là, y'avait que Mephisto pour faire un coup comme ça. Fuck.

C'était une soirée qui me faisait rudement chié et le pire c'est que je devais y participer simplement pour voir un allumé habillé en père noël chanté ... Non mais je vous jure j'aurais tout vu dans cette maudite taule ! Noël une fête religieuse ? Mon cul, c'était une fête purement commerciale. Et rien que de taxer m'emmerder à un point ... Heureusement que je ne devais offrir qu'un seul et unique cadeau et avec soulagement c'était un sorrows. Si ça avait été un Pain, le taré qu avait organisé aurait entendu parler de moi. Bref entrant dans la grande salle, je cherchais avec attention la personne à qui je devais remettre mon paquet. Et je vis un blond avec des lunettes. Mieczyslaw. Venant vers lui, je lui remis mon paquet sans grande formalité, c'était un gros mag consacrée au yaoi. Je n'étais pas douée dans les relations humaines donc je coupais court à uen éventuelle discussion. Venant me mettre dans un coin seule, isolé, et moins lumineux qu'ailleurs je m'allumai une clope ....

Citation :

« Oh, je.. Merci. » balbutia Lorenzo, pris au dépourvu, en baissant les yeux vers les paquets qui lui tendit Eva. Dire qu'il n'avait pas pensé à lui en acheter un.. Dés le lendemain, il irait lui en trouver un digne de ce nom, c'était juré. Relevant les yeux en acceptant ses présents, le sicilien adressa un sourire reconnaissant à Eva, ne pensant pas à ouvrir ses cadeaux immédiatement ; après tout, Noël était une occasion de célébrer la naissance du Christ, et étaler ses richesses devant des yeux étrangers serait un manque de respect que ce dernier ne tolérait pas. S'avançant vers la jeune fille, il déposa un baiser sur sa joue sans accentuer le contact mais assez pour lui faire comprendre que son attention lui plaisait particulièrement.

Affichant un vague sourire à cette soudaine réaction, elle tenta d’expliquer

« Il était qu’à moi, on s’aimait plus que tout … il n’était qu’à moi mais il n’a pas voulu m’écouter, voir les choses en face … j’ai du prendre des mesures, c’est bien dommage, on aurait put être une si belle famille ! »

Quand la jeune fille lui expliqua alors les raisons de cette cicatrice, Ecila retira sa main. Maternelle de nature, elle ne comprenait pas pourquoi quelqu’un voudrait tuer un enfant … pourtant elle se contenta de lui dire

« Tu serais tombée d’un escalier, tu n’aurais pas eut de trace »